La semaine dernière, j'ai eu à réaliser le portrait d'un vétéran de la guerre de Corée. Il comprend un peu le français mais quand un médecin lui parle de sa santé, il préfère que ce soit dans une langue qu'il comprend à 100 %: L'anglais. Le problème c'est que le bureau des vétérans ne veut pas payer son voyage à Montréal. Il habite Rawdon et l'hôpital de Jolliette est plus près de chez lui. J'adore ma langue mais je crois que le pragmatisme peut parfois s'imposer face à certains concepts.
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